Au commencement était le mépris ....

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✗ SABOTAGE OU MÉPRIS, le calendrier choisi par la direction a placé le conseil de promotion cinq jours avant l’évaluation écrite des compétences, obligeant les élus à choisir entre préparation  sereine du conseil ou de l’écrit.

✗ LE GARDIEN DU TEMPLE MENACE D’UN ARRÊT DU CONSEIL (ça tourne mal) : Michel Ramir, autoproclamé  gardien du temple, a menacé d’arrêter la séance au bout de 20 secondes de liminaire prétextant que les phrases de contextualisation sont hors du champ de l’instance « technique et non sociale ».  Après quelques coups de fil et une concertation intersyndicale, le conseil est reparti comme en  quarante.

✗ « C’EST DENSE, ÇA FAIT PLAISIR, ÇA MONTRE QUE C’EST SERIEUX » : Fin de non-recevoir sur le  rallongement de la scolarité et la mise en place de plus de TTA en GF et CF : malgré la surcharge  nuisant à la pédagogie, le raccourcissement de la scolarité a été décidée à des échelons qui  dépassent la direction de l’ENFIP.

✗ « BIENVENUE DANS LE MONDE DES POSTES AU CHOIX » : renvoyant la faute sur les RH de la Centrale et  des DNS qui ne « jouent pas le jeu » en convoquant les candidats en présentiel sur leurs heures de  formation, la direction de l’ENFIP refuse catégoriquement d’accorder des autorisations d’absence  pour préparer et se rendre aux entretiens, y compris pour les collègues clermontois.

✗ N’OUBLIEZ PAS DE VENIR HABILLÉS DE VIOLET : Sur la question des collègues enceintes, l’ENFIP  cumule l’excuse de l’impossibilité d’individualiser 1500 scolarités et la minimisation des  problèmes qu’elles rencontrent en nous disant que seuls deux dossiers seulement leur auraient été  remontés. Mme Cartier s’engage à recevoir individuellement toutes les doléances et réclamations des  collègues enceintes, mais refuse catégoriquement d’adapter leur mode d’évaluation pour éviter des  redoublements inutiles et un stress accru.

✗ VOUS ÊTES LIBRES DE FAIRE CE QU’ON VOUS DIRA DE FAIRE : sur la liberté pédagogique des  formateurs, l’ENFIP maintient que par souci d’égalité le seul support doit être le support  pédagogique agréé mais concède qu’un schéma bien réalisé permet parfois de résumer six heures de  cours.

 LA CGT FINANCES PUBLIQUES condamne un non-dialogue social et une instance, qui sous prétexte  d’être une instance technique et non sociale, n’a pas de but décisionnel et pour laquelle M. Ramir  ne prend pas d’engagement concret.

 LA CGT FINANCES PUBLIQUES maintient sa position sur la nécessité d’une scolarité prolongée avec  plus de TTA pour les stagiaires en contrôle et gestion fiscale, pensée sur la base de l’intérêt  pédagogique et professionnel des stagiaires et dénonce une perte de sens de la formation.

 LA CGT FINANCES PUBLIQUES dénonce le refus d’autorisations d’absence pour préparer et passer les  entretiens pour les candidatures sur les postes au choix, poussant à la fraude aux motifs  d’absence, du fait d’un dispositif inadapté et pénalisant les stagiaires vis-à-vis des mutations internes.

 LA CGT FINANCES PUBLIQUES exige une adaptation du mode d’évaluation des collègues enceintes  prenant en compte les situations particulières afin de préserver au mieux le déroulé des carrières  et la santé des stagiaires.

 LA CGT FINANCES PUBLIQUES défend l’idée d’une formation professionnalisante de qualité préparant  et armant les stagiaires sur leur métier, au service de l’intérêt général.
 

Colonne de droite publique: