Un été pour se renforcer
Pour certain·es, c’est le temps des congés payés (gagnés depuis 1936 par les salarié·es avec la CGT !).
Pour beaucoup, c’est celui du travail intensif, sous la canicule ou la précarité. Mais partout, dans les entreprises, les services, les lieux de travail, les syndicats CGT restent sur le pont.
Fortes chaleurs : les règles ont changé.
Même si le droit est encore insuffisant, l’entreprise doit adapter les horaires, suspendre les tâches pénibles aux heures les plus chaudes, ajuster les périodes de repos, aménager les postes de travail pour amortir les effets du soleil et l’accumulation de chaleur. La CGT vous informe sur vos droits sur cgt.fr/canicule
Les salaires, préoccupation première.
Le salaire net, c’est pour le mois, le salaire brut, ça donne des droits tout au long de la vie. Alors, on s’organise avec la CGT pour gagner des augmentations de salaire. Le kit de mobilisation est sur cgt.fr/salaires.
L’été, on ne lâche rien.
Saisonnier·es, intérimaires, CDD… l’été est aussi un temps de précarité. La CGT est présente sur les lieux de travail, de vacances, de passage pour vous informer. Retrouvez les guides de vos droits sur cgt.fr/saisonniers et cgt.fr/interim.
Et aussi : la CGT sur chaque étape du Tour de France [des luttes et de l’emploi] à suivre cgt.fr/actu
Retraites : 64 ans c’est toujours non !
Les député·es ont enfin pu se prononcer par une motion le 5 juin pour l’abrogation de la retraite à 64 ans de Macron. Comme la CGT l’avait anticipé, rien n’a été obtenu au « conclave » : pas d’accord et de nombreux reculs comme la désindexation des pensions et l’allongement des annuités pour les carrières longues (voir cgt.fr/retraites2025).
Nous avons été des millions dans la rue et en grève contre le vol de deux années de vie imposé en force par 49.3 en 2023. Aujourd’hui, comme le souhaite près de 70 % de la population, la CGT veut gagner l’abrogation de cette réforme injuste et le retour aux 60 ans.
Empêcher les politiques d’austérité
L’inflation continue de ronger les salaires, les services publics sont à genoux, les entreprises annoncent des vagues de suppressions d’emplois… et maintenant on veut nous voler le 1er mai férié !
Le gouvernement prépare un budget 2026 qui nous enfoncerait dans l’austérité avec encore des économies sur notre dos, sur les services publics comme sur la Sécurité sociale. Ce sont toujours les mêmes qui payent, comme, par exemple, avec la TVA « sociale », une arnaque !
Et pendant ce temps, l’extrême droite prospère sur le désespoir. Amie des grands patrons et des actionnaires : à l’Assemblée elle vote contre l’augmentation du Smic et contre l’indexation des salaires sur l’inflation.
Continuer à lutter contre les suppressions d’emploi
Dans l’industrie, dans le commerce, dans l’agroalimentaire, dans les collectivités, dans la culture… des milliers d’emplois sont supprimés ou menacés.
Chez Arcelor, des centaines de postes sont menacés malgré l’existence des solutions de relocalisation industrielle. Dans des dizaines d’entreprises, les salarié·es apprennent leur sort par mail ou par la presse.
La CGT a produit une carte pour montrer l’ampleur des destructions d’emplois et les combattre. À voir sur carte.cgt.fr.